"Révélations chocs sur la stratégie fiscale inédite d’Éric Lombard !"
Le ministre de l’Économie, Éric Lombard, explore une tactique audacieuse pour augmenter les taux d'imposition dès 2025, sans enfreindre les règles du Conseil constitutionnel. Les mesures prévues par son prédécesseur, comme la création d'un taux minimal d'imposition de 20 % pour les hauts revenus et une hausse de la flat tax sur les dividendes, n'ayant pas été votées, le gouvernement envisage une approche alternative. Il s'agit de réintroduire ces augmentations pour l'année 2025, en demandant aux contribuables concernés de verser un acompte basé sur une estimation de leurs revenus de 2024. Cette démarche permettrait à l'État de collecter deux milliards d'euros dès le premier semestre, évitant ainsi d'attendre 2026. Cependant, la légalité de cette manœuvre reste incertaine, notamment en ce qui concerne la rétroactivité. Le Conseil constitutionnel pourrait être sollicité pour se prononcer sur cette question inédite. Malgré les critiques et les interrogations juridiques, le gouvernement semble déterminé à mettre en œuvre cette approche pour compenser le déficit public actuel, qui atteint près de 6 % du PIB. Il est précisé que si les contribuables paient un acompte supérieur à ce qu'ils devraient réellement, ils seront remboursés de la différence. Cette initiative soulève des débats quant à sa validité juridique et à son impact sur les contribuables concernés.
