Articles avec le tag "Campagne de haine"

"Scandale à Springfield : la communauté haïtienne sous pression avant la visite de Trump"

"Scandale à Springfield : la communauté haïtienne sous pression avant la visite de Trump"

Dans la ville de Springfield, Ohio, la tension est palpable alors que la communauté haïtienne est la cible d'une campagne de haine violente. Une réplique de la statue de la Liberté, ornée d'un drapeau "Trump 2024", symbolise les contradictions identitaires qui gangrènent le rêve américain. Les accusations xénophobes, telles que "Ils mangent les chiens. Les gens qui sont arrivés… mangent les chats. Ils mangent… les animaux de compagnie des", ont exacerbé les tensions dans cette petite ville. Alor...

Publié le 17/01/2025 11:22
Regrets du père de famille déclencheur de la campagne de haine lors du procès de l'assassinat de Samuel Paty

Regrets du père de famille déclencheur de la campagne de haine lors du procès de l'assassinat de Samuel Paty

Lors du procès de l'assassinat de Samuel Paty, Brahim Chnina, un homme de 52 ans, a exprimé ses regrets pour avoir lancé une campagne de haine contre le professeur d'histoire-géographie. Il avait publié des messages et des vidéos mettant en cause Paty, ce qui a conduit à des réactions violentes et à la décapitation du professeur par un jeune islamiste radical. Chnina, poursuivi pour association de malfaiteurs terroriste, risque 30 ans de réclusion criminelle. Il a admis avoir contribué à provoqu...

Publié le 02/12/2024 19:32
"Décryptage de la campagne de haine ayant conduit à l'assassinat de Samuel Paty"

"Décryptage de la campagne de haine ayant conduit à l'assassinat de Samuel Paty"

Lors du procès en lien avec l'assassinat de Samuel Paty, une enquêtrice de la Sous-direction antiterroriste a analysé les messages et vidéos ayant alimenté une véritable "campagne de haine" contre le professeur. Ces contenus ont été présentés comme pivot de la spirale infernale ayant abouti au terrible acte du 16 octobre 2020. Deux accusés, Brahim Chnina et Abdelhakim Sefrioui, ont été mis en cause pour avoir diffusé des vidéos incriminantes. L'enquêtrice, dont le nom de code est "Sdat 289", a e...

Publié le 26/11/2024 06:30