"Le pouvoir de Christelle Morançais face à la réduction des budgets culturels en Pays-de-la-Loire"
En 2014, deux nouvelles figures, Marlène Schiappa et Christelle Morançais, ont émergé dans le paysage politique du Mans. Agissant en candidate anti-système, Schiappa, issue de la société civile et défenseure des idées féministes, a suscité l'intérêt du maire sortant. En parallèle, Morançais, une entrepreneure libérale, a surpris en se lançant dans la politique locale. Confrontée aux tensions internes de l'UMP, elle fut choisie comme adversaire du maire en place, malgré les réticences de certains. Avec un parcours atypique, la jeune femme s'est imposée au second tour des élections municipales. Depuis, Christelle Morançais a gravi les échelons et s'est hissée à la présidence de la région Pays-de-la-Loire. Cependant, sa gestion à poigne ne fait pas l'unanimité, notamment suite aux coupes budgétaires dans le domaine culturel. Cette décision a provoqué des remous au sein de la communauté artistique locale, dénonçant une politique insensible aux besoins culturels de la région. Malgré cela, Christelle Morançais maintient sa position, affirmant la nécessité de ces mesures pour assurer une gestion financière responsable. Son ascension politique, marquée par des choix controversés, révèle une présidente au caractère bien trempé, prête à faire face aux oppositions et à défendre ses décisions coûte que coûte.
