"Révélations choc sur Nicolas F. au procès des viols de Mazan : ses actes et ses justifications"
Le procès des viols de Mazan, qui s'est déroulé pendant plus de trois mois au tribunal judiciaire d'Avignon, a exposé un système de violences sexuelles orchestré par le principal accusé, Dominique Pelicot. Ce système incluait des viols perpétrés sur sa femme de l'époque, Gisèle Pelicot, par des individus recrutés en ligne. Cinquante coaccusés ont également comparu devant la cour criminelle départementale du Vaucluse. Parmi eux se trouvait Nicolas F., un journaliste de 42 ans, impliqué dans des faits survenus lors de la nuit du 14 au 15 janvier 2018. Nicolas F. a passé 18 mois en détention provisoire pour des accusations de "viols aggravés" et de "détention d'images pédopornographiques". Lors de ce jour fatidique de janvier 2018, il aurait répondu à une annonce en ligne dans le but d'avoir une relation homosexuelle avec Dominique Pelicot. Invité à participer à des actes sexuels sur Gisèle Pelicot, il aurait prétendu à cette dernière qu'elle se réveillerait. Niant toute intention de viol, il affirme avoir simulé la pénétration, se dédouanant ainsi de toute responsabilité. Il se défend également sur la détention d'images pédopornographiques, arguant qu'elles étaient présentes sur des supports qu'il aurait récupérés. Nicolas F. décrit Gisèle Pelicot comme victime de sa maladresse et de son manque de discernement, admettant qu'il a été influencé par les circonstances. Son profil est celui d'un individu célibataire et sans enfant, se décrivant comme "bisexuel léger" et cherchant de nouvelles expériences après une rupture difficile. Des éléments compromettants tels que des images zoophiles et scatophiles retrouvées dans son matériel informatique sont également mentionnés, suscitant des réactions indignées de sa part.
