Scandale à Madrid : l'Espagne brille par son absence à l'inauguration de Notre-Dame de Paris
L'absence remarquée du roi Felipe VI et des représentants du gouvernement espagnol à la réouverture de Notre-Dame de Paris a suscité des critiques et des interrogations à Madrid. Malgré la présence d'autres dignitaires européens, dont des membres de maisons royales, l'Espagne, en tant que nation catholique, avait brillé par son absence. Le gouvernement espagnol a tenté de minimiser la situation en invoquant des empêchements personnels et en mettant en avant le caractère non-obligatoire de la présence. Cette absence a alimenté les polémiques politiques, l'opposition de droite dénonçant un manque de représentativité et une erreur diplomatique. Le manque de coordination entre les différents acteurs gouvernementaux, y compris la Couronne, le ministère de la Culture et le ministère des Affaires étrangères, témoigne d'une certaine désorganisation au sein de l'exécutif espagnol. Cette situation souligne les tensions internes et les dissensions au sein du gouvernement, renforcées par des scandales récents et des divergences idéologiques. L'absence de l'Espagne à cet événement symbolique met en lumière les divisions politiques et les difficultés de gouvernance du pays.
