Fin d'une ère : fresques pornographiques remplacées par des œuvres inclusives dans les hôpitaux
Conformément à une directive ministérielle, les fresques pornographiques autrefois présentes dans les salles de garde des hôpitaux sont progressivement remplacées par des œuvres artistiques plus adaptées au XXIe siècle. Ces fresques obscènes et sexistes mettant en scène des scènes pornographiques étaient présentes dans des hôpitaux parisiens comme l'hôpital psychiatrique Sainte-Anne et l'hôpital Beaujon, mais ont été retirées suite à une instruction du gouvernement français visant à lutter contre les violences et le harcèlement dans le milieu de la santé. Au lieu de simplement recouvrir ces fresques, certains hôpitaux ont opté pour une approche plus inclusive en les remplaçant par des œuvres artistiques respectueuses et non sexistes. Par exemple, à l'hôpital Beaujon, l'illustrateur Good-Bye Hippocrate a créé de nouvelles fresques colorées et poétiques mettant en valeur le corps médical et ses valeurs. De même, à l'hôpital Sainte-Anne, l'artiste Virginie Gaubert a réalisé une fresque humoristique et moderne représentant des personnalités de l'établissement. Cette transition vers des fresques inclusives n'a pas fait l'unanimité, certains professionnels de la santé considérant qu'il s'agit d'une remise en cause de la tradition hospitalière. Cependant, les nouvelles œuvres ont été bien accueillies par la communauté médicale, offrant un environnement de travail plus respectueux et agréable pour les internes et le personnel soignant. En archivant les anciennes fresques, les hôpitaux ont choisi de préserver la mémoire tout en évoluant vers des pratiques plus en phase avec les enjeux sociétaux actuels. Cette transition marque la fin d'une ère de fresques pornographiques dans les hôpitaux, laissant place à une nouvelle approche artistique et culturelle centrée sur l'inclusivité et le respect.
