Chaos institutionnel en Corée du Sud : loi martiale et blocage parlementaire
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a déclaré la loi martiale pour contrer les "forces communistes nord-coréennes", mais a été rapidement contraint de la lever par les députés. Cette décision a déclenché une forte mobilisation de l'opposition et de la société civile, craignant une dérive autoritaire. Le nouveau commandant de la loi martiale a émis un décret interdisant les activités politiques, la propagande et les grèves, plaçant les médias sous contrôle militaire. Malgré un déploiement de forces dans les rues de Séoul, les députés se sont opposés à cette mesure jugée "illégale" et ont voté massivement contre. Cette crise a provoqué des réactions inquiètes de la part de la communauté internationale, soulignant l'importance du respect des institutions démocratiques. Les États-Unis, l'Allemagne et l'ONU ont exprimé leur préoccupation et appelé au retour à la normale en Corée du Sud.
