Alliés en déclin : Russie, Iran, Hezbollah lâchent Bachar al-Assad
Après la chute d'Alep, Bachar al-Assad voit ses fidèles alliés, la Russie, l'Iran et le Hezbollah, affaiblis. La Russie, empêtrée sur plusieurs fronts, a réduit son soutien militaire. De son côté, l'Iran et le Hezbollah ont subi des bombardements en Syrie par Israël, affaiblissant leur potentiel. Cette situation de fragilité a été exploitée par les rebelles, notamment Hayat Tahrir al-Sham, qui ont réussi une offensive éclair. La Chine émerge également en exprimant sa préoccupation et sa volonté de contribuer positivement. Le président syrien se retrouve ainsi de plus en plus isolé et doit désormais compter sur des alliances nouvelles, même avec des pays comme la Turquie, souvent en opposition avec son régime. Bachar al-Assad est confronté à des choix cruciaux pour assurer sa survie dans un contexte de recomposition des alliances au Moyen-Orient.
