Découverte cruciale de deux ADN inconnus dans l'enquête sur la mort d'Émile au Vernet
Deux traces d'ADN humain inconnues ont été découvertes dans l'enquête sur la mort d'Émile au Vernet, soulevant de nouvelles questions. Ces traces ne correspondent ni à la victime ni à sa famille, et sont partielles et dégradées, ce qui rend leur exploitation délicate. Les enquêteurs n'écartent aucune piste, qu'elle soit criminelle ou accidentelle, et travaillent sans relâche pour découvrir la vérité. Les analyses se concentrent sur l'environnement de la découverte des ossements et des vêtements, ainsi que sur la téléphonie. Malgré le potentiel suspect des ADN, ceux-ci pourraient également résulter d'une contamination due à la manipulation répétée des éléments découverts. La mobilisation de 20 militaires démontre l'importance de l'affaire, alors que le Directeur général de la gendarmerie nationale insiste sur l'importance de résoudre l'affaire pour que la famille puisse faire son deuil. L'enquête se poursuit pour tirer au clair ces nouvelles découvertes et toute piste n'est écartée.
