"Scandales et tensions au Festival de la BD d’Angoulême"
Le Festival de la BD d’Angoulême s'ouvre dans un climat tumultueux. Des accusations de pratiques douteuses et de mauvaise gestion pèsent sur Franck Bondoux, délégué général de l'événement, et sa société 9eArt+. La gouvernance du festival est remise en question, avec des allégations de management toxique, de pratiques népotistes et de dérapage financier. Des polémiques secouent l'événement, notamment le licenciement de la responsable de la communication suite à des accusations de viol. Des artistes et éditeurs réclament le départ de Franck Bondoux, remettant en cause l'avenir du Festival. Les collectivités locales commencent à se lasser des controverses récurrentes entourant l'événement. Des tensions subsistent entre Bondoux et les éditeurs de bandes dessinées. Le Syndicat national de l'édition suit de près la situation, tout comme le Syndicat des éditeurs alternatifs qui demande la rupture du contrat liant l'association du Festival à 9eArt+. Malgré la défense de sa gestion, le Festival est confronté à une crise sans précédent. La pression monte pour Franck Bondoux et son équipe qui doivent faire face à une édition incertaine.
