Scandale sur LinkedIn : le PDG d'Ebra s'excuse pour avoir liké des publications d'extrême droite
Le président d'Ebra, Philippe Carli, a présenté ses excuses suite à la controverse survenue après qu'il eut liké des publications d'extrême droite sur LinkedIn. Carli a admis que cette pratique était maladroite et ne reflétait pas ses convictions personnelles. Les accusations ont été initialement soulevées par le Syndicat national des journalistes, suite à la découverte que Carli avait approuvé des contenus provenant de personnalités d'extrême droite. Dans une tribune publiée, Carli a clarifié qu'il ne soutenait aucun parti politique extrémiste et a souligné ses valeurs humanistes et anti-discriminatoires. Le scandale a pris de l'ampleur lorsque Mediapart a révélé que Carli avait également liké des publications d'autres figures de l'extrême droite, telles que l'eurodéputée Sarah Knafo et Matthieu Valet du Rassemblement National. Carli avait initialement tenté de se disculper en prétendant que son compte LinkedIn était géré par une autre personne, mais cette explication a été remise en question. Cette affaire a suscité des réactions de la part des syndicats et organisations, demandant des explications transparentes de la part de Carli. Sa position de PDG d'un grand groupe de presse régionale soulève des interrogations sur l'indépendance éditoriale des journaux appartenant à Ebra. En résumé, le scandale des publications likées d'extrême droite sur LinkedIn par le PDG d'Ebra a provoqué des excuses publiques de sa part, mettant en lumière les implications éthiques et l'indépendance éditoriale des médias du groupe.
