"Le magistrat perd son sang-froid aux assises : affaire Amandine, 13 ans, morte de faim"

Ce lundi 20 janvier 2025, s'est ouvert le procès de Sandrine Pissara et Jean-Michel Cros, accusés d'actes de torture sur la jeune Amandine, 13 ans, décédée d'un arrêt cardiaque suite à une privation de nourriture. Lors de l'audience, la mère de la victime nie toute accusation, affirmant qu'elle n'a pas privé sa fille de nourriture. Le magistrat, perturbé par ces déclarations, a exprimé son exaspération en déclarant que la fillette allait de toute façon décéder. Les accusés tentent de justifier leur inaction face à l'état de santé dégradé d'Amandine, mais leur version est mise en doute par les éléments de l'enquête. Le juge d'instruction a qualifié les actes commis envers la jeune fille de violences destructrices et humiliantes. Le père de la victime exprime sa douleur et cherche à comprendre les motivations derrière ces agissements. Le procès révèle des conditions de vie inhumaines imposées à Amandine pendant des années, la plongeant dans un véritable enfer. La défense tente de se disculper, mais les preuves médico-légales accablent les accusés. L'avocat du père de la jeune fille soulève l'aspect diabolique de ce scénario tragique, demandant des explications sur ces actes monstrueux.