"Révélations sur le rôle du CNRS dans une plateforme anti-Elon Musk qui incite à quitter X"
Un collectif français, en collaboration avec des chercheurs du CNRS, a lancé l'application "Hello Quitte X" visant à aider les utilisateurs de X (ex-Twitter) à migrer vers d'autres réseaux sociaux avant le 20 janvier, date symbolique de l'investiture de Donald Trump. À l'initiative de David Chavalarias, du CNRS, cette plateforme vise à offrir des alternatives à X, jugée "dangereuse pour les individus et les démocraties" depuis son rachat par Elon Musk. Malgré la confusion sur le rôle du CNRS dans ce projet, la recherche académique de David Chavalarias sur l'impact des réseaux l'a conduit à développer "Hello Quitte X" pour favoriser des réseaux sociaux respectueux de la vie privée, tels que Bluesky ou Mastodon. Grâce à cette plateforme, qui compte déjà 17 000 utilisateurs enregistrés, plusieurs entités comme la ville de Paris, le département de Loire-Atlantique, Sandrine Rousseau et même le CNRS ont rejoint le mouvement. L'objectif est de permettre un départ massif de X après le retrait de contraintes légales pour Elon Musk après le 20 janvier, redoutant ainsi une influence encore plus néfaste sur la santé mentale des utilisateurs. Malgré les critiques et spéculations sur le financement du projet, le CNRS clarifie son rôle en précisant que l'initiative a été lancée par l'un de ses laboratoires, sous la direction de David Chavalarias, dans le cadre de la liberté académique. Cette démarche s'inscrit dans un contexte où la question de la désinformation et de l'influence des réseaux sociaux prend une place croissante dans les préoccupations de la société. "Hello Quitte X" se positionne comme un outil pour favoriser une transition vers des plateformes plus éthiques et respectueuses des individus. L'engagement du CNRS dans ce projet témoigne de la volonté académique d'apporter des réponses concrètes aux enjeux contemporains liés aux médias sociaux.
