"Drame aux assises : les aveux troublants de la mère d'Amandine"
Au premier jour de son procès devant la cour d'assises de l'Hérault, Sandrine P., mère d'Amandine, nie avoir délibérément affamé sa fille de 13 ans retrouvée morte de faim, nue et décharnée dans un débarras familial en 2020. Face aux accusations d'actes de tortures et de barbarie, elle affirme ne pas comprendre les raisons de ce drame. Les gendarmes ont découvert le corps de la jeune fille portant des traces de blessures et des escarres, ayant vécu un long calvaire isolée et affamée. Malgré les preuves, Sandrine P. dit ne pas savoir pourquoi Amandine ne mangeait pas et nie avoir refusé qu'elle se nourrisse. La mère reconnaît avoir puni ses autres enfants, mais affirme qu'Amandine n'en faisait pas partie. Le président de la cour d'assises interroge Sandrine P. sur les circonstances de la mort de sa fille, mais elle reste évasive. Une psychologue diagnostique un trouble de la personnalité chez Sandrine P., soulignant une relation complexe avec le père d'Amandine. La mère semble avoir déplacé sa haine envers le père sur l'enfant, transformant leur relation en une lutte destructrice. Malgré tout, Sandrine P. affirme avoir été une bonne mère malgré la violence envers son enfant.
