"Incroyable assaut au tribunal en Corée du Sud : partisans de Yoon Suk-yeol à l'attaque!"

Un tribunal à Séoul, en Corée du Sud, a été le théâtre d'un assaut d'une violence inouïe le 19 janvier dernier. Les partisans du président déchu Yoon Suk-yeol ont violemment réagi à la décision du tribunal d'étendre sa période de détention. Brisant les barrages de police, les manifestants ont investi la cour du tribunal, causant des dégâts importants et blessant des policiers, des juges et des journalistes présents sur place. Des scènes surréalistes ont été rapportées, avec des affrontements violents entre les manifestants et les forces de l'ordre. Certains émeutiers ont utilisé des bâtons, des boucliers arrachés aux policiers, ainsi qu'un extincteur pour attaquer leurs adversaires. Cette attaque, qualifiée d'«sans précédent» par les observateurs, s'inscrit dans un contexte de crise politique majeure en Corée du Sud, déclenchée par la déclaration de la loi martiale par Yoon Suk-yeol. Malgré sa destitution par le Parlement, Yoon Suk-yeol demeure techniquement président en attendant la décision de la Cour constitutionnelle. Son arrestation le 15 janvier a entraîné des émeutes et des mouvements de protestation dans tout le pays. Le processus de destitution est en cours, avec une troisième audience qui s'ouvre pour confirmer ou non la destitution du président déchu. Les partisans de Yoon Suk-yeol continuent de le soutenir fervemment, et son parti politique, le Parti du peuple au pouvoir (PPP), a même vu sa popularité remonter dans les sondages. La situation demeure tendue en Corée du Sud, avec une polarisation politique exacerbée et des enjeux de gouvernance majeurs en suspens.