"Révélations exclusives : les dessous de l'accord de cessez-le-feu à Gaza, retournement de situation inattendu"
Après huit mois de négociations, un accord de cessez-le-feu a été conclu entre le Hamas et Israël, sous l'égide du Qatar, des États-Unis et de l'Égypte. Cet accord, accepté par le cabinet de sécurité israélien, reprend en grande partie le plan proposé par Joe Biden en 2024. Structuré en trois phases de 42 jours, il prévoit l'échange de prisonniers, la libération d'otages israéliens et palestiniens, ainsi qu'une aide humanitaire pour Gaza. Les similitudes entre cet accord et celui recalé huit mois plus tôt sont frappantes, avec l'ajout de quelques détails logistiques. Les phases comprennent la libération progressive d'otages, des échanges de prisonniers et la reconstruction de Gaza sur une période de trois à cinq ans, supervisée par l'Égypte, le Qatar et l'ONU. Des négociations directes entre les parties sont prévues pour passer de la phase 1 à la phase 2. Des modifications ont cependant été apportées, notamment concernant la libération de prisonniers palestiniens et l'organisation du retrait des troupes israéliennes de certaines zones de Gaza. Des détails précis sur les otages à libérer, le retour des déplacés internes et les restrictions des forces israéliennes ont également été ajoutés. L'évolution du contexte géopolitique, marqué par des changements significatifs au Moyen-Orient, ainsi que la pression américaine, ont contribué à cette issue inattendue. Des facteurs comme le rapport de force en faveur d'Israël, la non-libération de Marwan Barghouti et les intérêts politiques ont influencé cet accord. Ce retournement de situation bouleverse les attentes, offrant une perspective nouvelle pour la région après des mois de conflits. L'accord marque un pas vers la stabilité et la reconstruction, tout en suscitant des interrogations sur les enjeux politiques sous-jacents.
