"Edouard Durand, le choix incontournable pour le Haut-Commissariat à l’enfance"

Prioriser la protection de l'enfance reste une pierre angulaire dans toute société démocratique. La décision du président Emmanuel Macron de créer un Haut-Commissariat à l'enfance, plutôt qu'un ministère dédié, soulève des questions légitimes sur ses missions et son pouvoir. Les violences faites aux enfants, qu'elles soient physiques, psychologiques ou sexuelles, demeurent un fléau répandu et trop souvent minimisé. Chaque année, des centaines de milliers d'enfants sont victimes de violences, avec des conséquences dramatiques. Les services d'aide sociale à l'enfance, soutien essentiel pour 570 000 jeunes, sont souvent dénoncés pour leur manque de moyens. Plusieurs statistiques alarmantes, telles que 26 % des sans-abri étant d'anciens enfants de l'ASE, mettent en lumière l'urgence d'une action efficace. La prostitution infantile, les enfants sans-abri, le harcèlement scolaire et les dangers en ligne sont autant de fléaux auxquels les enfants sont confrontés au quotidien. Malgré des signaux d'alerte récurrents, les enfants restent trop souvent sans protection adéquate. Placer Edouard Durand à la tête du Haut-Commissariat à l'enfance apparaît alors comme une décision cruciale pour instaurer une prise de conscience collective et des actions concrètes en faveur de la protection des droits des enfants.