"Le scandale de l'hospitalisation cachée d'Ursula von der Leyen révélé !"

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a caché son hospitalisation début janvier pour une pneumonie sévère, suscitant des interrogations sur le secret entourant sa santé. En effet, elle a été hospitalisée pendant une semaine à Hanovre, mais cette information n'a pas été communiquée publiquement par la Commission, qui a préféré rester évasive sur l'état de santé de sa dirigeante. Cette opacité a été vivement critiquée lors d'un point presse, remettant en question la transparence de l'institution européenne. Certains journalistes ont fait le parallèle avec un cas antérieur où le véritable état de santé d'un responsable n'avait été révélé qu'après son décès. Cette affaire soulève des doutes sur la culture du secret persistante au sein de la Commission européenne, malgré ses promesses de transparence envers les États membres. La capacité de von der Leyen à assumer ses fonctions a été défendue par le porte-parole de la Commission, mais cette réponse n'a pas convaincu l'auditoire. La communication défensive adoptée par l'exécutif européen risque de nuire à sa crédibilité, déjà mise à l'épreuve par divers défis de légitimité. Le report de la présentation d'une stratégie majeure, non liée officiellement à la maladie de von der Leyen, soulève des questions quant à l'impact de cette situation sur les activités de la Commission. Malgré tout, la présidente devrait reprendre ses fonctions prochainement, envisageant de participer au forum de Davos et à une session parlementaire à Strasbourg. Cette affaire met en lumière les enjeux de transparence et de communication au sein de l'Union européenne, notamment en ce qui concerne la santé des dirigeants politiques.