"Trump veut conquérir le Groenland : l'Occident se rebelle"
Moins de deux semaines avant son investiture, Donald Trump a déclaré lors d'une conférence de presse sa volonté de contrôler le Groenland et le canal de Panama, même par la force si nécessaire. Cette déclaration a provoqué une levée de boucliers en Europe, des responsables européens rappelant au président élu la nécessité de respecter les frontières internationales. La Première ministre danoise a convoqué les chefs de parti face à la controverse provoquée par les remarques de Trump. Les réactions des dirigeants européens ont été unanimes : l'inviolabilité des frontières doit être respectée, rappelant ainsi les valeurs occidentales fondamentales. L'Union européenne a qualifié les menaces d'annexion du Groenland d'extrêmement hypothétiques et a souligné l'importance de respecter la souveraineté et l'intégrité territoriale du Groenland. La Russie, acteur majeur dans la région arctique, a réagi en soulignant son intérêt pour maintenir la paix et la stabilité dans cette zone et s'est dite prête à interagir avec toutes les parties concernées. Le secrétaire d'État américain a rejeté l'idée d'une annexion du Groenland par les États-Unis, assurant que cela n'aurait pas lieu. En outre, certains pays comme l'Italie ont affirmé que les annexions évoquées n'allaient pas se produire. Le Danemark s'est montré ouvert au dialogue avec les Américains pour renforcer leur coopération. Le Groenland, territoire riche en ressources naturelles et d'une importance géostratégique, suscite les convoitises, notamment en raison de la rivalité croissante entre grandes puissances telles que la Chine et la Russie dans la région arctique. Alors que le Groenland aspire à plus de souveraineté, il reste financièrement dépendant du Danemark. La situation actuelle soulève des enjeux géopolitiques majeurs dans la région arctique.
