"Révélations choc : le poignard de Jean-Marie Le Pen, témoin de ses actes de torture en Algérie"
Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, est au cœur d'une histoire troublante liée à la guerre d'Algérie. Un poignard gravé de son nom et de son régiment parachutiste a refait surface, rappelant son passé de tortionnaire durant ce conflit. Cet objet, retrouvé dans la Casbah d'Alger en 1957, est devenu un symbole de ses actes de torture. Les témoignages concordants, dont celui d'un Algérien nommé Mohamed Moulay, confirment la présence de Le Pen lors d'actes de violence et de barbarie perpétrés à l'époque. Le poignard a été présenté comme preuve lors d'un procès en diffamation intenté par Le Pen contre Le Monde, procès qu'il a perdu en appel. La justice a reconnu la rigueur des enquêtes menées par Le Monde, étayant les accusations de torture à l'encontre de Le Pen. Des témoignages d'anciens militaires et les propres aveux du fondateur du FN (devenu RN) ont également contribué à étayer ces accusations. Malgré une tentative d'amnistie votée par l'Assemblée nationale en 1962, l'histoire n'a pas oublié ces actions. Cet épisode met en lumière un pan sombre de l'histoire de Le Pen, dévoilant sa participation à des actes inhumains durant la guerre d'Algérie. Le poignard, désormais exposé au musée national du moudjahid à Alger, symbolise la cruauté de cette période et souligne les responsabilités de chacun dans le devoir de mémoire. Les implications de Le Pen dans ces pratiques, confirmées par diverses sources, suscitent la controverse et alimentent les débats sur son héritage politique.
