"Scandale chez Body Minute : une influenceuse attaquée en justice pour avoir critiqué l'enseigne"

Suite à la publication d'une vidéo parodique critiquant son expérience chez Body Minute, l'influenceuse Laurène Levy se retrouve assignée en justice par la marque. Les réseaux sociaux s'enflamment alors autour de cette affaire, mettant en lumière les pratiques de communication contestées de l'enseigne. Body Minute est accusé de harcèlement en ligne en tentant de faire supprimer la vidéo de Laurène, la poussant à révéler publiquement les pressions subies. L'entreprise va jusqu'à envoyer des huissiers sur le lieu de travail de l'influenceuse pour vérifier des accusations sans fondement. Face au refus de Laurène de retirer ses publications, Body Minute l'assigne en justice pour "dénigrement commercial". L'influenceuse se défend en accusant à son tour la marque de pratiques douteuses, notamment de créer de faux avis pour améliorer son image en ligne. La polémique prend de l'ampleur sur Tiktok, avec de nombreux utilisateurs partageant leurs propres mauvaises expériences chez Body Minute et soutenant Laurène. L'influenceuse se dit surprise des accusations de l'enseigne et accuse celle-ci de manipuler des esthéticiennes pour la discréditer en ligne. Face au "bad buzz", Body Minute publie un communiqué pour apaiser la situation en proposant de retirer sa plainte si Laurène supprime ses contenus critiques. Les syndicats de l'esthétisme soutiennent l'influenceuse dans cette affaire qui risque de nuire à l'image du métier auprès des jeunes femmes. La date de l'audience est fixée pour le 16 janvier, et l'affaire continue de diviser les internautes, mettant en lumière les enjeux de la communication en ligne et les limites du dénigrement commercial dans les actions des marques.