"Scandale des influenceurs algériens en France : Doualemn, le 3e arrêté, incitation à la haine !"

En France, l'arrestation de l'influenceur algérien "Doualemn" a été annoncée par le sénateur Bruno Retailleau pour incitation à la haine. Ce dernier, suivi par 138 000 personnes sur TikTok, est accusé d'avoir proféré des appels au meurtre, des propos antisémites et d'avoir fait l'apologie de la torture en ligne. Il s'agit de la troisième arrestation en trois jours d'influenceurs algériens en France, après celles de "Zazou Youcef" et "Imadtintin". Chawki Benzehra, un activiste politique algérien réfugié en France, a alerté sur le cas de "Doualemn". Selon lui, l'influenceur aurait incité à la violence contre les opposants au régime algérien via des vidéos sur TikTok. Des menaces de mort ont également été proférées à l'encontre de Benzehra depuis qu'il a soulevé cette affaire. Le maire de Montpellier, Michaël Delafosse, a signalé les vidéos de "Doualemn" pour incitation à la haine, entraînant une réaction du préfet de l'Hérault. Par ailleurs, "Imadtintin" a été arrêté pour avoir soutenu "Zazou Youcef", recherché pour incitation à commettre des attentats en France. Cette affaire a suscité une indignation importante sur les réseaux sociaux. Chawki Benzehra a également dénoncé les vidéos d'un autre influenceur, "Onitrzek", suivi par 35 000 personnes sur TikTok, qui aurait tenu des propos nationalistes et belliqueux envers la France. La série d'arrestations des influenceurs algériens en France met en lumière l'impact des propos tenus sur les réseaux sociaux et la nécessité de lutter contre l'incitation à la haine et la violence en ligne.