"Scandale à Mayotte : la fuite choquante d’Élisabeth Borne face à des enseignants"
La ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, est vivement critiquée pour avoir ignoré deux professeurs mécontents de la réponse de l'État dans les bidonvilles de Mayotte. Lors d'une visite officielle avec une délégation ministérielle, les enseignants ont interpellé la ministre, soulignant l'absence de soutien de l'État dans les quartiers précaires après le passage du cyclone Chido. Malgré les doléances des enseignants concernant le manque d'eau, de nourriture et d'électricité, Élisabeth Borne a fini par tourner les talons et quitter la discussion, suscitant une vague de critiques de la part de l'opposition politique. Les réactions ne se sont pas fait attendre, avec des représentants de divers partis politiques exprimant leur consternation face au comportement de la ministre. Ian Brossat du Nouveau Front populaire a souligné le manque d'empathie d'Élisabeth Borne, tandis qu'Olivier Faure du Parti socialiste a déploré le mépris affiché envers les enseignants alertant sur la situation sanitaire. Enfin, Frédéric Falcon du Rassemblement national a souligné l'attitude froide de la ministre, appelant à un soutien accru pour les habitants de Mayotte. Cette affaire a mis en lumière les difficultés auxquelles sont confrontés les habitants des bidonvilles de Mayotte, en particulier concernant l'accès aux ressources essentielles. Les enseignants ont souligné le manque d'actions concrètes de la part de l'État, laissant les habitants livrés à eux-mêmes pour faire face aux conséquences du cyclone. Cette négligence de la part des autorités a provoqué une indignation généralisée et alimenté les débats politiques autour de la gestion de la crise à Mayotte.
