"Scandale en Corée du Sud : le président Yoon aurait donné l'ordre de tirer pour imposer la loi martiale!"
Une enquête a révélé que l'ancien président sud-coréen Yoon Suk Yeol aurait autorisé l'armée à ouvrir le feu pour prendre le contrôle du Parlement lors d'une tentative avortée d'imposer la loi martiale. La crise politique qui en a résulté a plongé la Corée du Sud dans le chaos, aboutissant à la destitution du chef de l'État par intérim. Yoon aurait ordonné à l'armée d'envahir le Parlement après la proclamation surprise de la loi martiale. Malgré le rejet de cette loi par les députés, Yoon aurait prévu de la déclarer à nouveau. L'avocat du président déchu a contesté ces accusations, affirmant qu'elles étaient biaisées. Yoon est actuellement sous enquête pour "rébellion". La Corée du Sud en est à son troisième dirigeant en moins d'un mois, avec la destitution consécutive du président par intérim et du Premier ministre. La confrontation politique se poursuit, tandis que le Bureau d'enquête sur la corruption tente d'interroger Yoon pour la troisième fois. Le nouveau chef de l'État par intérim s'engage à mettre fin à la crise gouvernementale.
