"François Asselineau blanchi de toutes accusations de harcèlement et agressions sexuelles"

Quatre ans après avoir été accusé de harcèlement moral et d'agressions sexuelles par deux collaborateurs, François Asselineau, président de l’UPR, bénéficie d'un non-lieu prononcé par deux juges d'instruction du tribunal judiciaire de Paris. Le parquet a toutefois fait appel de cette décision. Les accusations initiales comprenaient des chefs de mise en examen tels que des agressions sexuelles et du harcèlement, mais ils ont tous été rejetés. En 2020, des plaintes avaient été déposées par deux collaborateurs, affirmant avoir été victimes de harcèlement et d'agressions sexuelles de la part de François Asselineau. Malgré sa mise en examen en 2021 pour harcèlement moral, harcèlement sexuel, agressions sexuelles par personne ayant autorité et intimidation d’une victime, les enquêtes ont abouti à ce non-lieu. Les plaignants avaient maintenu leurs accusations, tandis qu'Asselineau avait nié toute agression sexuelle, évoquant des relations basées sur un prétendu amour réciproque. Son entourage a dénoncé une manœuvre visant à prendre le contrôle de l’UPR. Les juges ont estimé qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves pour le poursuivre en justice, mais le parquet a exprimé son intention de contester cette décision en appel.